Des dessins botaniques de Francis Hallé, des peintures de Mark Alsterlind et des sculptures de Vincent Lajarige nous parlent de notre monde.
Ce monde qu’il faut protéger de nous-même. Pour cela, le rendre sensible, c’est à dire le percevoir à travers nos sens, nous permet de mieux le connaître. Connaître est ainsi sentir, ou ressentir, ce qui nous entoure, nous côtoie, nous accompagne, nous est nécessaire.
Observer ce monde scientifiquement peut être autant poétique que l’étudier artistiquement. Et inversement. Cette exposition en est la preuve.


